Voleur de temps
Vendredi en milieu d’après-midi, début d’été catalan, loin des ramblas. Envoyé par Monsieur Paul Gravenchko pour un forfait de cinq mille euros, me voilà installé dans un fauteuil trop bas pour mon mètre soixante, le nez à la hauteur du marbre de la grande table ovale. J’essaye de faire bonne figure tandis que chacun des…